pauses surréalistes : commentaires à la queue leu leu…

Voici , en vrac, les divers commentaires [sur les réseaux sociaux et les blogs] dont les auteurs se reconnaîtront. Des propos qui décrivent bien l’esprit et la lettre des pauses surréalistes :

« Une amusante fantaisie et un bijou de liberté et d’écriture… Très drôle dans tous les sens du terme… Amusant à lire, agréable à décoder…Un magnifique méli-mélo. Où chaque mot danse avec l’autre et émerveille notre esprit… Musique des mots et chorégraphie sémantique… En dehors du temps… Le mot pour rire… Magie des mots… Du coq à l’âne… Délire verbal, contrôlé. Il faut beaucoup de souffle pour lire ce texte d’une seule traite… Original, l’écriture est inventive et nous ramène à l’actualité brûlante, dans la forme et dans le fond… Avec les Gymnopédies, c’est la même inspiration. Ces textes qui se font longues mélopées, dans un rythme enlevé et sarcastique, mieux que de l’humour noir, une invention originale… Fresque surréaliste… Impressionnante envolée… Un voyage fantastique et extraordinaire dans une réalité parallèle d’une logique implacable… Humour iconoclaste… Le principe d’un mot qui en appelle un autre, dans une succession d’idées et d’images… Un blues délirant , une réalité qui dérape à plaisir… Un texte savoureux et épicé d’une fantaisie voyageuse aux couleurs enjouées et vives…Une fausse nonchalance dans une histoire surréelle, ballade et navigation en voiles de syntaxe hissées haut en couleur… Faut prendre son souffle mais ça ne manque ni de rythme ni d’intérêt stylistique... Musicalité, storyboard déjanté et promeneur dans un univers de légende où les mots se parlent et s’adressent ensuite au lecteur dans une syntaxe facétieuse qui entraîne de manière irrésistible à dévorer de plaisir un texte aussi original… Jeux de mots pleins de saveurs… Plein de résonances et d’images insolites qui se lisent sans ponctuation et à perdre haleine... Merveilleux travail des mots, jeu merveilleux… Lecture à ne pas s’essouffler d’un seul mot ! C’est du dadaïque absolu ?… Le second degré abordé ici comme de la confiture sur du beurre permet de lire lentement pour bien se pénétrer des subtilités… Les télescopages, oui, comme des jeux de mots ou de la poésie ininterrompue… »

Question [d’une lectrice] : « mais pourquoi ne découpez-vous pas ce rôti surréaliste en tranches fines (de tomates) ? »

Réponse [d’un lecteur] : « c’est aussi la surabondance des ingrédients qui fait l’intérêt du menu. »